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Fred Forest - Retrospective
Art sociologique - Esthétique de la communication
Exposition Art génératif - Novembre 2000
Exposition Biennale 3000 - Sao Paulo - 2006

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27/10/2003

NEW TECHNOLOGIES

- UNE EXPOSITION INTERNATIONALE,
"New Technologies"
"Roy Ascott, Maurizio Bolognoni, Fred Forest, Richard Kriesche, Mit Mitropoulos"
MUSEE DEL SANNIO BENEVENTO

- UN ESSAI DE MARIO COSTA A L'HARMATTAN :
"Esthétique et Globalisation Internet", octobre 2003


New Technologies (22octobre/29 Novembre 2003) se donne comme conclusion de la manifestation Artmedia VIII- De l'esthétique de la communication au Net Art qui s'est tenue à Paris, en Novembre et Décembre 2002.

Le catalogue que nous publions pour New Technologies est à considérer, avec les Revues "Art Press" (n.285, décembre 2002) et "Ligeia" (les "actes" d'Artmedia VIII, n.45/48, juillet/décembre 2003), comme un outil théorique incontournable pour comprendre un mouvement esthético-artistique qui, depuis vingt ans, n'a pas épuisé, ni sa vitalité, ni son actualité.

Ces dernières années, nous assistons, à la floraison d'une série de "poétiques", toutes à peu prés technologiques et communicationnelles, qui autoproclament leur originalité et leur nouveauté : "esthétique de la commutation", " esthétique relationnelle", "de l'interaction collective", "de l'interactivité dévoilante", "de la conscience partagée" etc. Toutes ces formulations consistent, en réalité, à emprunter, un ou plusieurs concepts de la théorie générale de l'"esthétique de la communication", et de ses développements liées au concept de "sublime technologique", et à les présenter comme s'il s'agissait, là, de quelque chose de nouveau (?)

La présentation des cinq artistes de la "vieille Europe", ici, réunis au Musée de Benevento (Roy Ascott, Maurizio Bolognoni, Fred Forest, Richard Kriesche, Mit Mitropoulos) se donne comme une démonstration conclusive au plan historique. Elle est, sans doute, particulièrement exemplaire et signifiante du fait de la complexité croisée et omni-intelligible de leur travaux respectifs.. Ce qui nous a conduit, nous-même, de fait, à mettre en scène, dans cette exposition de Benevento, une philosophie et une esthétique appliquées.

Mario Costa, octobre 2003

MUSEO DEL SANNIO PIAZZA SANTA SOFIA 82100 BENEVENTO
tel : 00 39 0824 21818
e-mail : sublitec@libero.it


09/10/2003

INCULTURE OU IMPOSTURE ?

L'ART D'AUJOURD'HUI EST-IL CONSOMMABLE ?

La galerie les " LES CONTEMPORAINS " de Bruxelles, pour les noces d'or, des trente ans de la revue historique belge + - 0, organise un débat au Théâtre Mercelis, 13 rue Mercelis, 1050 Bruxelles.

SAMEDI 18 OCTOBRE 2003 à 18 HEURES
MODERATEUR : EDDY DEVOLDER

NICOLAS BOURRIAUD,
MICHEL BAUDSON,
JACQUES CHARLIER,
THIERRY DE DUVE,
CHRIS DERCON,
DANIEL DOBBELS,
JEAN HOET,
HERVE FISCHER,
FRED FOREST

ENTRE INCULTURE ET IMPOSTURE, VOIRE NAÏVETE, L'ART D'AUJOURD'HUI EST-IL CONSOMMABLE ? OU, ENCORE, COMMENT SE FABRIQUE ET S'ECRIT L'HISTOIRE DE L'ART, PAR CEUX-LA MêMES QUI DISPOSENT, SOUVENT DU FAIT DU PRINCE, DES POUVOIRS CULTURELS OFFICIELS ET DES INSTRUMENTS INSTITUTIONNELS PUBLICS ?
C'EST DANS CE SENS, EN TOUT CAS, QUE NOUS AIMERIONS QUE S'INDUISE LE DEBAT ( ?) NOUS FERONS TOUT POUR CELA !

QUELLE DIFFERENCE, EN EFFET, ENTRE LES CONCEPTS DE BASE ELABORES PAR L'' ART SOCIOLOGIQUE " (France1971), " LE CAP/Cercle d'Art Prospectif , Belgique (1972) PAR " L'ESTHETIQUE DE LA COMMUNICATION " France/Italie/Canada/GB (1983), ET CEUX AVANCES, AUJOURD'HUI, COMME INEDITS PAR L " L'ESTHETQUE RELATIONNELLE " (1998) ? ? ? SINON, UNE BONNE TRENTAINE D'ANNEES D'AVANCE, POINT BARRE !

ESTHETIQUE DE LA COMMUNICATION ? ESTHETIQUE RELATIONNELLE ? LA SECONDE, A QUELQUES VIRGULES PRES, APPARAIT BIEN COMME UN COPIE CONFORME DE LA PREMIERE !

Ce débat, programmé à Bruxelles à la galerie les " LES CONTEMPORAINS " permettra de clarifier, avec un peu de chance, une question qui reste encore en suspens, à ce jour, malgré nos courtoises et pressantes sollicitations auprès du responsable de l'esthétique relationnelle en poste au Palais Tokyo. (?) Tout le monde vous le dira : la rigueur intellectuelle demande d'un auteur, et, ce qui plus est, de celui qui se dit l'auteur d'une théorie en art, de citer d'abord ses sources...

RECUEUILLONS L'AVIS IMPARTIAL D'UN EXPERT SUR LE SUJET :
CATHERINE LECLERC ECRIT, DANS L'OUVRAGE " UN ASPECT DE L'ART CONTEMPORAIN ", EDITIONS LA " RENAISSANCE DU LIVRE" , Belgique, 2002.

" Dans son livre, Esthétique relationnelle, Nicolas Bourriaud d'entrée de jeu reconnaît l'importance de celle-ci (la relation), mais étonnamment, il ne fait référence à aucun moment, ni aux travaux de Fred Forest, ni à ceux du CAP ! " (pages 66 à 78 extraits - " L'art relationnel du concept à l'esthétique " p.66 à 78)
.
Nous ne sommes donc pas les seuls à nous étonner de cette curieuse et malencontreuse amnésie !

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MARIO COSTA/FRED FOREST, L'ESTHETIQUE DE LA COMMUNICATION 1983
UN MOUVEMENT ARTISTIQUE, QUI APRES VINGT ANS, DANS SA CAPACITE A RENOUVELER SES PRATQUES ET A FAIRE EVOLUER SES THEORIES, N'A EPUISE, NI SA VITALITE, NI SON ACTUALITE, OCCUPANT, ENCORE AUJOURD'HUI, LE DEVANT DE LA SCENE

Voir, entre autres," Art sociologique ", Fred Forest, 10/18, UGE Paris 1977
-" Théorie de l'art sociologique ", Hervé Fischer, Castermann, Paris 1977
- " Relation et relation " publié par le CAP aux éditions Yellow Now" (avec un échange de lettres sur le concept de " relation " entre Jacques Lennep et Fred Forest), Crisnée Belgique 1981
- "Art sociologique et esthétique de la communication", Doctorat d'Etat, Fred Forest, Sorbonne, Paris 1985
- " L'esthétique de la communication", Mario Costa/Fred Forest, Opus International ; Paris été 84
- " Dossier Esthétique de la communication", Art Press " Manifeste de l'esthétique de la communication" Revue + - 0 N° 43 Bruxelles, 1985
- " Le Bulletin de l'IDATE ", Fred Forest n° 20. " Pratique artistique interactive "., Montpellier, juillet 1985,
- Art Press, Paris, février 1988, dossier " Esthétique de la communication ", avec des textes de Mario Costa, Derrick de Kerckhove, Paul Virilo, Gene Youngblood, Fred Forest...
- " Art Sociologique, Sociologie esthétique, Blaise Galland, Goerg éditeur, Genève 1987.
- " L'estetica della cominicazione ", Mario Costa,, Castelvechi, Rome 1999.
-" Art/Réseau/media connexion ", Annick Bureaud.Nathalie Magnan, ENSBA Paris 2OO2
- "De l'esthétique de la communication au Net Art ", Art Press N° 285, Paris, Décembre 2002
- "Les actes d'Artmédia VIII" N° 45/48, entièrement consacrés au colloque Artmédia VIII juillet /décembre 2003
Ce mouvement historique permet de croiser une trentaine d'artistes de toutes nationalités, dont Natan Karczmar (Israel) qui a publié en 1987 un manifeste sur l'art de la relation, des théoriciens, dont l'éventail se déploie de Marshall Mc Luhan à Edgar Morin, Vilem Flusser, Pierre Restany, Pierre Moeglin, Derrick de Kerckhove ; Pierre Lévy, Paul Virilio etc.,
target=_new>http://www.webnetmuseum.org/html/fr/expo_retr_fredforest/textes_divers/3manifeste_esth_com_fr.htm#text


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NICOLAS BOURRIAUD : L'ESTHETIQUE RELATIONNELLE, 1998 (France)

D'où vient cette obsession de l'interactif qui traverse notre époque ? Après la société de consommation, après l'ère de la communication, l'art contribue-t-il aujourd'hui à l'émergence d'une société relationnelle ?
Nicolas Bourriaud tente de renouveler notre approche de l'art contemporain en se tenant au plus près du travail des artistes et en exposant les principes qui structurent leur pensée : une esthétique de l'inter humain, de la rencontre, de la proximité, de la résistance au formatage social.
Son essai se donne pour but de produire des outils nous permettant de comprendre l?évolution de l'art actuel : on y croisera Felix Gonzalez-Torres, Louis Althusser, Rirkrit Tiravanija ou Félix Guattari, et la plupart des artistes novateurs en activité.


30/08/2003

RENCONTRES ARTISTES PLASTICIENS TRANSPARENCE DES FONDS PUBLICS

" 1eres Rencontres Nationales des Artistes Plasticiens "
FORUM SUR LA TRANSPARENCE
Vendredi 19 septembre 2003
14h30 à 16h00
Auditorium Charlie Parker
Grande Halle de La Villette
(Métro Porte de Pantin)

LA TRANSPARENCE DES INSTITUTIONS CULTURELLES PUBLIQUES FRANCAISES

UN FORUM EXPLOSIF !



UN SUJET TABOU QUI MASQUE TROP D'INTERETS ET SUR LEQUEL LES ARTISTES, LES PREMIERS, DOIVENT FAIRE LA SEULE REVOLUTION QU'IL LEUR RESTE ENCORE A FAIRE : CELLE DE L'ESPRIT ET CELLE DE L'ETHIQUE.

Est-il suffisant de manifester dans la rue, et de s'auto-proclamer être un "artiste ", pour en être, un, véritablement ? La seule révolution qu'il reste encore à faire aujourd'hui aux artistes : c'est de commencer par changer ce qu'ils ont dans la tête, de ne pas se considérer comme d'éternels assistés, et de commencer par demander des comptes aux institutions culturels en les interpellant sans répit. Des institutions qui existent pour être au service du citoyen et des artistes, et non, au contraire, pour se servir d'eux!

A l'initiative du GIGA (http://impertinent.info/giga)

proposé et animé par Fred Forest (forest@imaginet.fr,) vendredi 19 septembre 2003,14h30 à 16hOO, Auditorium CharlieParker, Grande Halle de La Villette (Métro Porte de Pantin)

- Avec la participation (ou de son représentant) d'Arnauld de Montebourg député socialiste, Jack Ralite sénateur communiste, un député UDF; Jean-Michel Raingeard, Président de la Fédération des Musées, Eric Mangion, Directeur FRAAC PACA; Jérôme Glicenstein, artiste-caap, Richard Rodriguez, collectionneur, Alain Quémin, sociologue, Stephen Wright, critique d'art, Fred Forest, modérateur-GIGA, et... treize responsables d'institutions publiques, invités personnellement à venir s'exprimer sur le sujet (viendront-ils ? ne viendront-ils pas ? nous verrons bien, ce chiffre 13 n'est pas forcément d'une bonne augure !) :

Alfred Pacquement, Centre Georges Pompidou; Eric Troncy, le Consortium Dijon; Guy Tortosa, Centre d'Art Contemporain de Vassivière; Christine Van Asche, Centre Georges Pompidou; Pascal Pique, Les Abattoirs Toulouse; Jean-Louis Mauban, Nouveau Musée Villeurbanne; Marc Sanchez, Palais Tokyo Paris, Thierry Raspail, Musée d'Art Contemporain Lyon; Gilbert Perlein Musée d'Art Moderne et d'Art Contemporain Nice; Caherine David quelque part en itinérance à l'étranger; Germain Viatte, quelque part pantouflant dans une institution muséale, Bernard Blistène, DAP...

La question posée par le débat sur la transparence est simple : les institutions culturelles publiques doivent-elles, ou non, communiquer au citoyen français, bailleur de fonds, le montant des acquisitions en matière d'art contemporain ? (40% des achats)
Les musées, les centres d'art contemporain, les FRAC, les CNAC, le FNAC etc. refusent, en effet, systématiquement, de communiquer les prix, même après interventions de la CADA (Commission d'Accès Aux Documents Administratifs)
Au nom de la transparence de la comptabilité publique (loi de 1978) cette règle élémentaire de la démocratie devrait pourtant être appliquée. Il n'en est rien en France, contrairement aux usages de nombreux autres pays européens !

Cette situation est-elle tolérable ? A défaut de son respect, quels sont les motifs qui peuvent justifier et légitimer une telle rétention d'information ? Au-delà du refus de communication des prix, on constate la même opacité pour tout ce qui touche à la commande publique, à l'attribution des bourses, des subventions, la constitution de jury, les nominations aux postes de responsabilité...

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François Barré, " Grand " commis de l'Etat, s'il en est, jadis Président du Centre Georges Pompidou, passé depuis, (sans état d'âme), armes et bagages, au service de François Pinault, déclarait à Fred Forest, qui réclamait la transparence : " N'y compte absolument pas. Tu auras beau faire, on ne te donnera jamais les prix ! Pas question de déstabiliser le marché ". Le rôle des responsables de l'Etat serait-il donc, avant toute éthique démocratique, de protéger le marché de l'art et les manipulations financières dont il est l'objet ? (www.fredforest.org/proces)

Nous pensions, a contrario, que le rôle d'un responsable culturel, utilisant des fonds publics, était en priorité celui d'assurer la mise à disposition du citoyen de base de biens culturels dans la plus grande transparence. C'est toute la question de fond que pose ce débat sur la " transparence " dans l'art contemporain, où l'influence des réseaux esthético-mondains, des lobbys, et des officines commerciales, constitue la règle. Cela, au mépris des intérêts des citoyens, et des principes démocratiques fondamentaux.

Nous devons réagir. Les artistes les premiers doivent réagir. Il en va de leur propre responsabilité. Cette situation est indigne de notre pays. Chaque citoyen, chaque artiste, chaque fonctionnaire, chaque responsable politique, doit s'employer activement à la changer. Les instances gouvernementales doivent être saisies rapidement du problème.

C'est indispensable de parler du statut de l'artiste et de sa condition, mais à quoi donc cela peut-il bien servir si, au préalable, il n'est pas traité de la question de fond : celle du contexte dans lequel ce statut et cette condition s'exercent ? ? ? Les artistes les premiers, au lieu de s'enliser dans des débats corporatistes et des intérêts de boutiquiers, doivent commencer par prendre de la hauteur. Ils doivent revaloriser la fonction politique de l'art et sa charge symbolique. Alors, et seulement alors, ils pourront prétendre recevoir de la société la place et la juste reconnaissance qui leur revient, en sachant que la création (la vraie !) n'a rien à voir avec l'exercice d'une profession réglementée. Le problème de fond, c'est celui des valeurs que cette société défend (?) Tout le reste n'est que de la poudre aux yeux, de beaux sentiments naïfs, soumis aux manipulations des différents pouvoirs politiques, syndicaux, patronaux, mediatiques et marchands...

Il est évident qu'une société marchande, une société de " spectacle " et de divertissement, ne pourra reproduire à l'infini que des valeurs de consommation frelatées et conditionnées. Etre un artiste (un vrai !) n'aura jamais, par conséquent, pour objet le profit. Le profit aussi nécessaire soit-il à l'économie domestique de l'artiste,(il faut bien que les artistes vivent !), mais sa seule passion restera celle de créer, et surtout de rester, toujours, cet " insoumis ", ce rebelle, qui clame tout haut, ce que les autres taisent, par duplicité, prudence, ou par... calcul.

Fred Forest, août 2003

target=_new>http://www.fredforest.org/proces

target=_new>http://impertinent.info/giga



QUI EST LE GIGA ?

GIGA
Guérilla Internet Groupe Art

target=_new>http://impertinent.info/giga


Collectif d'artistes plasticiens et de théoriciens, le GIGA se veut acteur dans l'émergence d'une nouvelle culture en phase avec la technologie de communication actuelle. Le GIGA est partisan de créer de nouveaux rapports entre les acteurs et les producteurs de l'art (les artistes) et des publics supposés de façon interactive..
L'existence des nouvelles technologies appelle à de nouveaux rapports avec l'objet d'art. Sont élaborés et expérimentés par des artistes de nouveaux concepts, proposés d'autres types d'?uvres, essayées de nouvelles modalités de diffusion; et recherchées les nouvelles formes d'une économie du symbolique. Leur utilisation, non réservée à une micro élite, est ouverte à une frange de plus en plus large de la société.

Le GIGA se prononce et agit contre la confiscation de l'idée d'art au profit d'un noyau d'experts. Au service de lobbys financiers, ces soit-disant experts (commissaires d'exposition, fonctionnaires de la culture, porteurs de valises des grandes galeries) ont pour objectifs d'instrumentaliser le système de l'art, et les artistes, eux-mêmes, animés par une logique de profit et de carriérisme. Le GIGA dénonce le comportement des institutions culturelles françaises et leurs responsables, qui par leur laxisme, leur complaisance où leurs orientations, font le jeu du système marchand.. Leur pratique d'opacité, de culture du secret et de rétention systématique d'information est indigne des principes démocratiques. Le GIGA demande (exige !)
- La fin de l'opacité du système, en particulier au niveau des achats publics.
- La fin de l'éviction des artistes des systèmes de décision.
- La fin de la subordination de l'art financé par des fonds publics à une élite financière privée.
- La transparence de la commande publique, l'attribution des bourses, les nominations?

Le GIGA, enfin, innove. Il ne fonctionne pas sur les modes traditionnels propres aux associations, mais sur des méthodes inédites, relevant des relations de réseaux. Ses membres ne se rencontrent jamais physiquement. Ils s'identifient par pseudonymes, et désignent par vote électronique des porte-parole, chargés de les représenter devant la société civile
Les modes d'action du GIGA sont également originaux. Le GIGA d'une façon inventive, utilise (utilisera) toutes les ressources de la communication moderne d'une manière scientifique, pour déstabiliser et dénoncer tous ceux qui dans ce système dérogent aux principes de l'éthique, alors qu'ils devraient en être le premier garant.

Rejoignez le GiGA sur Internet. Dans une société en crise, ce n'est pas un nouveau parlement que pour notre part nous demandons, mais une nouvelle société !

http:// www.webnetmuseum.org/infos/
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